💶🏦💰 Le harcèlement ça coûte cher ! Vidéo pour nos amis psychopathes.

Le prix caché de la cruauté : quand le harcèlement saigne les comptes
Imaginez un virus silencieux qui rongerait chaque année 8% du budget santé d’une nation. Un parasite économique se nourrissant d’absentéisme, de procédures judiciaires et de vies brisées. L’Australie vient de chiffrer cette hémorragie : 763 millions de dollars australiens engloutis par les conséquences du harcèlement adolescent. Derrière cette statistique glaçante se cache une vérité dérangeante – pour toucher certains décideurs, il faut parler la langue des bilans comptables plutôt que celle de la morale.
La moraline contre l’acier froid des chiffres
Comme le souligne avec ironie la chaîne Les Fouts de Normandie, notre époque a inventé la « moraline » – cette morale prête-à -porter dont on s’enduit superficiellement pour briller en société. Mais face aux profils psychopathiques qui peuplent les hautes sphères du pouvoir, ces discours s’émoussent comme des couteaux de bois. Une étude australienne change radicalement de paradigme : elle ne parle pas de souffrance, mais de pertes financières. Elle ne mesure pas des larmes, mais des colonnes de chiffres rouges.
« Il faut leur parler gros sous, il faut leur parler argent, il faut leur dire attention tu payes des impôts. Alors là hop là tac les oreilles, qu’est-ce qui se passe ? »
Cette approche pragmatique révèle l’ampleur du désastre : frais médicaux, jours de travail perdus, procédures juridiques interminables… Le harcèlement fonctionne comme une taxe invisible prélevée sur l’ensemble du corps social.
Anatomie d’un désastre économique
La méthodologie rigoureuse de l’étude décompose ce cancer organisationnel en coûts tangibles :
- Coûts directs : indemnités versées aux victimes, frais d’avocats, procédures de licenciement
- Coûts indirects : baisse de productivité, turnover accru, détérioration du climat social
- Coûts différés : prise en charge psychiatrique à long terme, perte de compétences
Chaque moquerie, chaque humiliation, chaque exclusion se transforme en une ligne budgétaire qui grève les comptes publics et privés. Les victimes ne sont plus seulement des êtres souffrants, mais des employés moins performants, des étudiants décrocheurs, des contribuables nécessitant des soins prolongés.
Psychopathie et rationalité économique : un dialogue improbable
L’originalité de cette approche réside dans son public cible : les décideurs à forte tendance psychopathique. Comme le note la vidéo, ces profils sont surreprésentés dans les sphères du pouvoir. Leur particularité ? Une empathie réduite, mais une sensibilité aiguë aux arguments rationnels et financiers.
L’étude opère ainsi une alchimie paradoxale : elle traduit la souffrance humaine en équations économiques. Un langage qui parle aux stratèges des salles de conseil d’administration. La conclusion est implacable : tolérer le harcèlement, c’est sciemment gaspiller des ressources précieuses.
Vers une prévention rentable
Les implications pratiques de ces découvertes sont claires :
- Former les managers à détecter précocement les dynamiques de harcèlement
- Implémenter des mécanismes de signalement anonymes et efficaces
- Intégrer le coût du harcèlement dans les tableaux de bord financiers
Comme le suggère malicieusement la vidéo, il ne s’agit pas de convertir les psychopathes à la compassion, mais de leur démontrer que l’éradication du harcèlement constitue un investissement judicieux. Une opération de rationalisation des coûts, rien de plus.
Conclusion : l’argent, langue universelle du changement
En révélant le prix exorbitant de la cruauté ordinaire, cette étude ouvre une voie pragmatique vers le changement. Peut-être faut-il en passer par là pour mobiliser ceux que les considérations humaines laissent indifférents. Après tout, comme le souligne avec un humour noir la chaîne YouTube : « On a besoin de vous. Là vous êtes, vous devez être pragmatique, efficace et vous devez agir fortement. »
Le harcèlement n’est plus seulement une question éthique – c’est désormais un dossier financier urgent à porter devant les comités de direction. Une manière cynique de progresser ? Sans doute. Mais si c’est le langage qui parle aux décideurs, parlons-le. Les victimes, elles, attendent depuis trop longtemps.
Référence scientifique
Auteur(s) inconnus. (2020). Le harcèlement ça coûte cher ! Vidéo pour nos amis psychopathes. Titre du Journal inconnu, Volume(Numéro), Pages. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32619590/
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